• Blonde comme les blés
    Belle comme une fée
    Douce comme un bébé
    Elle me fait trembler.

    Lumière du jour,
    Tu es comme l'amour,
    Ta lumière brille tellement
    Que mon âme est éblouie
    Et ferait tout ce que tu dis.

    Tes yeux de cristal
    Sont pour moi comme le Saint-Graal
    Ils me redonnent la vie
    Quand mon âme est pleine d'ennuis.

    Lumière du jour,
    Tu es comme l'amour
    Et quand viendra le jour
    Ou ta lumière s'éteindra...

    Je ne serai plus rien
    Je ne verrai plus rien
    Et ce sera la fin.

    (Poème daté du 6 septembre 2003)


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  • Dans ma tête tout se mélange
    Je me sens appelé par les anges
    Je ne puis mettre fin à ma vie
    Le silence est mon seul ami

    Je ne supporte pas la solitude
    Pourtant elle est pour moi habitude
    Dans ma tête tout se mélange
    Je me sens appelé par les anges

    J'ai tellement hâte à la dernière heure
    Que même d'elle je n'ai plus peur
    Je ne supporte pas la solitude
    Pourtant elle est pour moi habitude

    J'ai mal de vivre, quand arrivera t'elle?
    Je me sens déjà pousser des ailes
    J'ai tellement hâte à la dernière heure
    Que même d'elle je n'ai plus peur !

    (Poème daté du 13 mai 2004)


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  • Oh grand battement hypocrite !
    Tu fais vivre comme tu fais mourir
    Dans ma demeure qui est ton gîte
    Un jour toi aussi tu me tromperas
    En me faisant souffrir hypocrite !

    Oh démon cruel !
    Toi qui fais couler les fleuves de l'enfer
    Sous ma pauvre et sensible chair
    Ce fleuve qui un jour me détruira, cruel !

    Me fais-tu croire à la vie ou à la mort?
    Tu es le symbole même de l'amour
    Tu es le coupable même de la mort
    Oh hypocrite et cruel démon !
    Un jour tu auras de moi raison !

    (Poème daté du 12 mai 2004)


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  • Oh toi puissant, beau et lâche
    Ecoute ton coeur qui bât sans relâche
    Ton âme sans fond est meurtrie par le doute
    Toi seul très haut peut me remettre en doute.

    Les Hommes quand ils dorment le pleurent
    Les Femmes quand elles vivent se meurent
    L'âme est toujours faite de ce doute impétueux
    Qui agace nos vies et les morts silencieux.

    Dieu est Amour, l'Homme aussi
    Et s'il fallait un jour que je vienne à mourir
    Que ceux ici-bas me laissent en paix à dormir
    De voir ce monde si sale et si orgueilleux
    Mon âme insolente lui répond qu'il est odieux.

    Le monde imbécile, les Hommes si fragiles
    Me font pleurer des larmes insensibles
    A penser que l'on peut tout résoudre par l'Amour
    La vie serait alors un immense toujours.


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  • Dans l'existence futile et malsaine
    Un jour de décembre on m'a jeté
    Et maintenant que surgit ma peine
    Les Hommes, tout autour, m'ont rejeté.

    Oh existence ! Oh démoniaque vie !
    Qu'ai-je fait pour mériter ta haine?
    Un Homme différent mérite t-il tant de peines?
    Oh démoniaque vie ! Que je te hais, que je t'oublie !


    Vous, petits hommes incultes qui ne comprenez rien
    Vous me donnez le mal, je vous donne le bien
    Faut-il, pour être heureux, ne pas être un bon?
    Qu'importe ! Dans leur vie, justes et bons triompheront.

    Ma vie n'est qu'un passage, la Vie : éternité
    Mais quand les hommes meurent, toutes les âmes restent
    Dans le monde supérieur magnifique et Céleste
    Seuls les esprits bons et justes demeurent à jamais.

     

     

     


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